Le Château Layauga-Duboscq, raconte Henri Duboscq, est un vignoble que j’ai acquis en 2005 en m’associant à un chef étoilé propriétaire du restaurant Layauga. C’est pourquoi j’ai ajouté mon nom, c’est ce qui explique le nom Layauga-Duboscq, ensuite j’ai eu l’opportunité d’acheter 7 hectares supplémentaires, soit 12 hectares au total.
Pendant les vendanges, les tris des raisins se font au grain à grain. Les vins du Château Layauga-Duboscq sont vinifiés dans des chais ultra modernes dans de petites cuves en bois de 60 hl. L’élevage se fait dans des barriques neuves ou d’un vin de Haut-Marbuzet. Les terroirs de Queyrac et de Gaillan, où sont plantés les vignes sont typiques du Médoc et donnent souvent des vins un peu rustiques, nous ne sommes pas dans les grands crus de Pauillac ou Saint-Estèphe…
Je pratique un élevage dans des barriques en rotation sur elles-mêmes, ce qui permet la remise en suspension des lies, comme le font les bourguignons, cela donne des vinsronds et charmeurs.
La particularité de ce vin est qu’il n’a pas la puissance des grandes appellations, c’est un vin qui a beaucoup d’élégance, de finesse, suavité, rondeur. L’influence du vinificateur compte évidemment, et l’on retrouve bien le style Henri Duboscq qui plait beaucoup. Ce sont des vins gourmands et fruités qui charment tous les palais.
Dans ces terroirs de Médoc où il n’y a pas de graves drainantes, les années de canicule apportent de la prestance, de l’envergure au vin. Les 2015 et 2016 en sont la parfaite illustration.”
La qualité des millésimes
Château Layauga-Duboscq cuvée Renaissance 2018 : avec des arômes très présents d’épices, de cerise confite, de mûre, de réglisse et de violette, bien structuré et gras en bouche, ample, de très bonne évolution,
Château Layauga-Duboscq cuvée Renaissance 2017 : il a une robe d’un rouge rubis intense, de bouche veloutée, avec de la matière et du fruit, aux tanins fins et soyeux.
Château Layauga-Duboscq cuvée Renaissance 2016 : rondeur, puissance, très bonne structure, souple, parfumé, tout en bouche avec des arômes de fruitscuits et d’épices en finale, chaleureux, très parfumé au nez (griotte, fumé), tout en distinction, tanins savoureux.
Château Layauga-Duboscq cuvée Renaissance 2015 : belle roberubis foncé, un vin représentatif de ce grand millésime, très parfumé au nez (griotte, fumé), tout en distinction, aux nuances de cassis et de sous-bois au palais, taninssoyeux mais denses, belle garde.
Château Layauga-Duboscq cuvée Renaissance 2014 : robe grenat intense, aux senteurs de prune et de mûre, de bouche très équilibrée, idéal sur un pâté chaud de canard sauvage en croûte ou un rôti de bœuf.
Château Layauga-Duboscq cuvée Renaissance 2013 : une réussite, robepourpre soutenu, un vin parfumé (prune, fraise des bois), séveux, généreux et persistant. À ouvrir sur des magrets de canard.
Château Layauga-Duboscq
Henri, Bruno et Hugues Duboscq
1, rue Saint-Vincent
33180 Saint-Estèphe
Téléphone : 05 56 59 30 54
Au XVe siècle, selon les terriers (cadastre actuel), la propriété dépendante de la seigneurie du château de Roquetaillade - on retrouve des traces dans les documents historiques, où le lieu-dit Pasquire est dit. A cette époque, la maison actuelle n'existait pas encore. Notamment, la propriété actuelle apparaît. A la fin du XVIIIe, la famille Lansac devient propriétaire. La famille Dupuy s’en porte acquéreur en 1846, époque à laquelle ils sont construits dans un bâtiment pour l'élevage du vin. Dans le Féret de 1893, le Domaine de Brondelle est la cité, la production est alors de 4 tonneaux de vin rouge et 2 tonneaux de vin blanc (moelleux). Louis Turtaut, grand-père de l'acteur vigneron, achète la propriété en 1927. En 1968, D. et R. Belloc ont donné l'orientation de leur propriété définitive, soit 8 ha, afin de profiter au maximum du terroir exceptionnel de Brondelle, c'est-à-dire des graves pauvres permettant l'obtention de grands vins.
“Nous avons connu en 2020 une année hétérogène, nous explique Jean-Noël Belloc, trois mois de pluie, puis trois mois de sécheresse, si bien que les raisins en ont pâti. Si la quantité n'était pas présente, par contre la qualité est bien là. Les rouges sont riches, denses, ce seront vraisemblablement des vins de garde, les blancs ont de la matière et du fruité.
Voici les vins que nous commercialisons actuellement : Graves rouge Château Andréa 2018, Graves Classic rouge 2018, Grand Vin rouge 2018, Grand Vin blanc 2020, Graves blanc 2019, SauternesChâteau Fontaine 2017, Pessac-Léognan rouge Château d'Alix 2017 et Pessac-Léognan blanc Château d’Alix 2019. Nous projetons de planter 4 ha de Graves rouge : 3 ha en Merlot et 1 ha en Mourvèdre.”
Voilà un beau Graves rouge Château Andréa 2018, tout en arômes et structure, d’une belle ampleur, un vin qui sent la fraise des bois et l’humus, aux taninsfermes et soyeux à la fois, d’une finale complexe. Excellent Graves Classic rouge 2018, Merlot et Cabernet-Sauvignon, il est corsé, au nez de petits fruits rouges à noyau et de fumé, charmeur, c’est un vin aux notes d’épices en bouche.
Le Grand Vin Rouge 2018 est vaiment remarquable, de robe grenat intense, équilibré, aux notes de cassis bien mûr, avec des nuances fumées, puissant, corsé, un vin qui commence à se fondre. Quant au Grand Vin Blanc 2017, il a un nez expressif aux arômes de poire et de grillé, bien équilibré, persistant, finissant sur des notes d’agrumes. Très agréable Graves blanc 2019, il a une jolie robejaunepaille, au nez de noix et de fruitsfrais, bien rond et aromatique.
Vous allez apprécier aussi ce Pessac-Léognan rouge Château d’Alix 2017, il est harmonieux, aux notes fruitées_definition.html" class="lexique" target="_blank">fruitées denses, dominées par le cassis et la cannelle, un vin dense, d’un beau rubis foncé, d'une belle concentration aromatique et de la matière, et le Pessac-Léognan blanc Château d’Alix 2019, où se retrouvent les fruits, les épices et les fleurs fraîches, tout en bouche, vraiment très charmeur, à prévoir aussi bien sur une daurade au vin blanc qu’avec un jarret de veau aux légumes. Et toujours le séduisant SauternesChâteau Fontaine 2017, il est classique de ce grand millésime, développant des arômes de coing, de miel et de fruits confits.
Une propriété menée par Carole Peyrout, fille de Jean-Pierre Leymarie. Le domaine compte 15,5 ha : presque 12,5 ha en rouge et 3 en blanc.
Les vignes ont une moyenne d'âge de 20 à 25 ans. Les vendanges en blanc sont manuelles et effectuées par tries successives selon un critère phytosanitaire très rigoureux.
Elles sont en grande partie mécaniques en rouge depuis 1997 (les plus jeunesvignes sont vendangées à la main), à maturité optimale et selon, là aussi, un critère phytosanitaire extrêmement rigoureux.
De très jolis vins et pour commencer, le Pessac-Léognancuvée Prestige rouge 2018 (sélection de vieilles vignes, faiblesrendements, vendanges manuelles à maturité optimale), a une belle robe foncée, de bonne base tannique, riche et persistant en bouche, il est gras, aux notes de prune et de sous-bois, d’excellente évolution. Le 2016, de couleur profonde, est structuré, ample, avec des tanins riches et qui se fondent bien, des arômes de fruits bien mûrs (cassis, griotte...), tout en finale.
Le Pessac-Léognan rouge classique 2018 a une couleur grenat aux reflets violine, il est tout en bouche, avec beaucoup de structure, bien équilibré, au nez de cerise et d’humus, de charpente très élégante.
Beau Pessac-Léognancuvée Alexandre blanc 2019, très équilibré, d’une fraîcheur persistante, un vin classique qui développe un nez puissant d’agrumes mûrs, au boisé bien fondu, dominé par une puissance aromatique persistante, de bouche intense où l’on retrouve l’acacia et les agrumes.
Les origines de la famille Duffau demeurant sur la commune de Moulon, remontent au XVIIIe siècle. Une propriété de 46 ha.
On se fait plaisir avec ce Bordeaux rouge Fûts de Chêne 2019, 80% Merlot et 20% Cabernet-Sauvignon, élevage 12 mois sur lies totales avec un apport d’oxygène, de couleurpourpre, alliant souplesse et richesse, aux notes de fruitscuits avec des nuances de cannelle en bouche, un vin puissant, de belle évolution.
Le Bordeaux rouge cuvée Tradition 2019, est bien fait, de robe grenat, tout en arômes, aux taninssouples, au nez de pruneau, tout en bouche.
Séduisant Bordeauxblanc 2020, 70% Sauvignonblanc, 10% Sauvignongris et 20% Sémillon, élevage sur lies fines 6 mois, qui est vraiment plaisant, distingué, puissant et savoureux, alliant souplesse et fraîcheur en bouche, tout en finesse, aux nuances subtiles de noisette et de fleurs.
Goûtez aussi le Bordeaux rosé 2020, de très belle couleur, tout en finesse, de bouche fine, aux arômes de fruitsfrais et de rose, d’une longue finale parfumée, idéal sur un poisson au four.
Joli Bordeaux Supérieur l’Excellence rouge 2019, 50% Merlot, 50 % Cabernet-Sauvignon, vinification en cuves tronconiques permettant d’effectuer des pigeages journaliers une cuvaison de cinq semaines environ est réalisée avec un apport d’oxygène sous marc, élevage 12 mois, bien corsé, aux senteurs persistantes de petits fruits rouges mûrs avec des notes de musc, typé, aux taninssouples et très équilibrés, un vin qui allie structure et charme, très réussi.
Toujours remarquable Saint-Émilion Grand CruChâteau La Croix Caperot 2018, il est excellent, de bouche flatteuse et riche à la fois, où se mêlent la myrtille et l’humus, un vin classique, intense et complexe, de très bonne charpente.
Si il vous en reste dans la cave, ce Saint-Émilion Château La Croix Caperot 2016, qui a une couleur soutenue, au nez où s'entremêlent des notes d’épices et de fruits rouges mûrs, qu’il faut laisser évoluer.
Le choix de la culture biologique était évident pour ce passionné vétérinaire ostéopathe, créateur et organisateur de la Foire Biologique et artisanale de Libourne depuis 1999, qui s'est lancé dans l’aventure en 2004 avec 2,53 ha de vignes installées sur deux coteaux orientés nord-sud pour les Merlots (70%) et est-ouest pour les Cabernets-Sauvignon (30%). Les parcelles sont d’âges différents : 15, 30 et 50 ans. Vendanges manuelles et conviviales, tris sur pieds et sur table à l’entrée du chai, vinification sans apport de levures, élevage en cuves et en barriques. Certification Biodynamie Demeter depuis 2016.
“Mon objectif premier, dit Jean-François Moniot, est de produire un vin que j’aime et que je puisse avoir du plaisir à partager entre amis. Ma ligne de conduite est l’apprentissage et le respect d’un terroir et d’un lieu, pour élaborer un vin sincère et authentique.”
Un vrai coup de cœur pour ce Bordeaux Supérieur rouge 2017, subtil et souple, de bouche persistante aux nuances de fumé caractéristiques, tout en bouche, aux tanins équilibrés, encore un peu jeune mais très prometteur. Le 2016 est bien charnu comme il se doit, au nez riche dominé par les petits fruits noirs mûrs, tout en harmonie, un vin aux taninssoyeux et savoureux, d’excellente évolution.
Le 2015, qui poursuit son évolution, est un vin coloré, aux arômes persistants de petits fruits rouges mûrs et une touche de cannelle, avec des taninssouples et très équilibrés. Le 2014, est riche en couleur comme en arômes, aux connotations de fruits rouges à noyau, intense au nez comme en bouche, un vin charpenté et savoureux, au boisé harmonieux. Le 2012 est savoureux, de très bonne base tannique, gras, très équilibré, riche et charnu, au nez dominé par le cassis mûr et le fumé, un vin ample à déboucher actuellement sur un chou farci ou des filets de dinde sauce piquante.
Le 2011 est charpenté mais très élégant, de robe intense, aux nuances de vanille et de cassis, il est bien corsé, concentré au nez comme en bouche, très équilibré. Et enfin le 2010, charnu, épicé, aux tanins concentrés, tout en bouche, avec des nuances de mûre et de fumé, qui est de très bonne évolution.
Il y a aussi ce Bordeaux Supérieur rouge cuvée Lise 2012, élevage en barriques, qui mêle concentration aromatique et délicatesse en bouche, avec ces arômes d’épices (cannelle) et de griotte, aux tanins équilibrés, et ce Bordeaux Supérieur Adélaïde 2011, riche mais fin, très parfumé, au nez où dominent la prune et le musc, harmonieux, idéal avec des grillades au barbecue.
❤❤❤❤❤ Une place enviable dans le Classement cette année. Le Château tire son nom de sa situation géographique sur la colline de Cos et du nom de François Labory, propriétaire jusqu?en 1845. Monsieur d?Estournel en fera ensuite l?acquisition avant de le revendre à un banquier anglais, Charles Martyns en 1852. C?est finalement George Weber qui rachète la propriété dans les années trente, avant de la léguer à sa fille et son gendre, François Audoy en 1959. En 1971, le couple acquiert également le cru voisin, Château Andron Blanquet. Leurs fils travailleront quelques années à leurs côtés sur les deux domaines avant que Bernard, l?aîné, prenne les rênes des propriétés.
Beaucoup aimé ce Saint-EstèpheChâteau Cos Labory 2018, il a nez puissant avec des notes d?épices douces, de truffe et d?humus, bien charnu comme il se doit, ample et harmonieux, qui mérite une cuisine élaborée et surtout un peu de patience, tant il est prometteur (38 €). Le 2017, aux tanins serrés mais soyeux, est un vin classique, ample, solide (33 €). Le 2016, un grand vin, gras, parfumé, bien typé, corsé, au nez intense, de bouche concentrée avec des nuances de prune cuite et de réglisse, il est puissant et racé à la fois (39 €).
On poursuit avec le Saint-Estèphe Charme de Cos Labory 2018, au nez de violette et de sous-bois, avec en bouche ces notes de prune et de cassis surmûris, des tanins puissants mais bien fondus (17 €). Le 2017, est tout en couleur, c?est un vingras et corsé, très harmonieux, tout en complexité aromatique (groseille, cassis, fumé..., 15 €). Le 2016, qui mêle charpente et finesse, est bien charnu, très parfumé en bouche (prune, cuir), d?un bel équilibre, typique de ce grand millésime classique (17 €).
Leur autre Saint-EstèpheChâteau Andron Blanquet 2018, alliant puissance et distinction, est gras, charnu, un vin typé, où dominent les fruits mûrs et les épices, intense au nez comme en bouche avec des nuances de truffe en finale, et nous vous le conseillons, par exemple, avec un foie de veau (18 €). Le 2017, est délicieux, tout en arômes, corsé et gras, au nez complexe, avec des senteurs de framboise et de mûre (15 €). Le 2016, est d?une grande fraîcheur que lui apporte le terroir justement, un millésime d?un grand classicisme, il est intense, très parfumé, de jolie robepourpre (18 €). Le 2013, gras, parfumé, corsé, au nez de cassis et de cuir, a des tanins riches et veloutés à la fois, tout en charpente (13 €). Le 2011 est charnu à la fois, aux nuances de fruitscuits en bouche (16 €).
Bernard Audoy
❤❤❤❤❤ Henri Duboscq (voir Haut-Marbuzet) et sa sœur Anne-Marie se sont associés à Philippe Jorand dans ce vignoble de 12 ha qui s'étend sur les communes de Gaillan et de Queyrac.
?Dans le Haut-Médoc, on fait des vins un peu rustiques. De nos jours, avec le réchauffement climatique, l?inconvénient du terroir est un peu gommé, la chaleur permet aux raisins de bien murir. Château Layauga-Duboscq 2018 est un vin que l?on pourra boire peu de temps après la mise en bouteilles, il sera succulent à déguster en 2020-2021. On doit toujours considérer le prix, par rapport à la qualité. On peut se régaler avec des vins du Château Layauga-Duboscq à 12 euros, c?est appréciable ! On ne peut commenter les vins sans parler des prix ! Ce sont des vins à boire assez jeunes, même si pour gommer la rusticité des vins du Haut-Médoc, je pratique un élevage ?à la bourguignone? avec bâtonnages en remettant les lies en suspension, c?est un élevage onéreux mais cela en vaut vraiment la peine!
Ce sont des vins de convivialité, des vins de plaisir. Les grandes appellations ont une vocation un peu plus cérébrale et, le Médoc, est plus axé sur les vins-plaisir.
Nous sommes attachés à la culture de la vigne puisque, dans les deux propriétés, sans être Bio, j?ai supprimé un traitement anti pourriture, je l?ai remplacé par un traitement par confusion sexuelle, je laboure 90 % des sols des deux propriétés pour ne plus désherber, j?observe une vigilance et une évolution vers le respect absolu de l?environnement.?
Superbe Médoccuvée Renaissance 2018, qui développe un bouquet complexe où s?entremêlent des notes de cassis et de cannelle, harmonieux, riche et parfumé, un vin très équilibré et de belle matière, à savourer sur un coq au vin ou un filet d'agneau aux échalotes confites, par exemple (15 €).
Le 2017, gras, dense, aux tanins mûrs, à la fois riche et souple, d?une belle finale en bouche, où s?entremêlent des notes de fruitscuits et de truffe, un beau vin très classique, marqué par des nuances de pruneau (14,75 €). Une vraie gourmandise, en effet, que ce 2016, 50% de barriques neuves, de bouche délicate, charpenté et équilibré, parfumé (griotte, humus...), c?est un vin intense au nez, ample en bouche, velouté, bien classique de ce très grand millésime bordelais. d'un beau rouge profond, de garde, bien entendu (15 €).
Le 2015, a une belle roberubis foncé, un vin représentatif de ce grand millésime, très parfumé au nez (griotte, fumé), tout en distinction, aux nuances de cassis et de sous-bois au palais, taninssoyeux mais denses, belle garde.
Excellent 2014, ample, de robe grenat intense, aux senteurs de prune et de mûre, de bouche très équilibrée, un vin bien caractéristique de ce millésime médocain, qui mêle structure et rondeur. Le 2013, de robepourpre soutenu, parfumé, séveux, est généreux et persistant en bouche.
Le 2012, tout en arômes, de bouche bien corsée, de couleur intense, allie rondeur et puissance, une très bonne structure et des arômes de fruitscuits et d?épices en finale. Le 2011, où l?élégance prime, est un vin qui mêle fermeté et délicatesse, au nez où dominent la fraise des bois mûre et les épices.
Le 2010, parfumé, typé, rond mais de jolie charpente, avec des connotations de fraise des bois et d'épices, tout en bouche, où se décèle une jolie finale corsée au palais.
Le 2009, d?un beau rouge profond, riche en fruits rouges et noirs, ample et structuré, tout en persistance d?arômes, tout en bouche, est à la fois puissant et gourmand. Excellent 2008, tout en couleur et en matière, au nez de griotte et de fumé, aux tanins mûrs, de belle couleur, parfumé, généreux, idéal sur un onglet à l'échalote ou un filet de bœuf duchesse, notamment.
Henri, Bruno et Hugues Duboscq